08 Mar «Maries au premier regard»: peut-on vraiment tomber sur l’amour grace a la science?
Journaliste responsable d’une rubrique LIFE, Le HuffPost
SCIENCE – J’ai science est rassurante. Elle nous apporte des reponses sur le fonctionnement de cela nous entoure, y compris concernant nous-memes. C’est et cela a seduit les celibataires qui participent a l’emission de M6 «Maries au premier regard» diffusee votre lundi 7 novembre. Tous ont ete selectionnes apres avoir repondu a une annonce un promettant de trouver l’amour grace a J’ai science.
Les trois experts de M6, une sexologue, un psychologue et 1 sociologue ont fait passer une batterie de tests a toutes les candidats: tests olfactif et auditif, mesures du taux de masculinite et de feminite, mesures physiques et tests psycho sexuel. En croisant les precisions des candidats, ils ont pu decouvrir des concordances entre certains candidats. Sur le papier, ces couples formes via «la science» ont tout pour s’entendre et tomber amoureux.
Certes, les scientifiques ont fait de gigantesques progres dans l’apprehension de ce qu’il se marche dans notre corps quand nous tombons amoureux notamment. Mais pour et cela est une naissance du sentiment amoureux, la science se montre habituellement plutot prudente. Comment et pourquoi certaines individus tombent amoureuses? Comment tomber sur a coup sur l’amour? Ce n’est nullement faute d’avoir essaye de trouver une reponse mais il est complexe d’etablir une regle qui marche a coup sur.
L’amour c’est tel une transaction economique
L’amour est fait d’algorithmes. Tous les sites de rencontres en utilisent, c’est grace a eux que leurs utilisateurs paraissent foutu en relation et que de multiples couples se paraissent formes. En 2015, deux chercheurs de l’institut de recherches socio-economiques du Luxembourg (LISER) ont degote un nouveau modele Afin de construire l’algorithme de l’amour. Ceux-ci se paraissent ainsi appuyes i propos des regles qui regissent l’attractivite economique pour des appliquer a la recherche de l’amour. Se mettre en couple est comparable a une transaction regit avec les lois de ce marche.
«la majorite d’entre wantmatures nous procede a une evaluation basee via une liste de controle mentale des qualites que nous recherchons chez votre epoux ou une epouse. Autrement devoile, nous effectuons une transaction economique car nous recherchons le meilleur accord Afin de nous-memes en faisant concorder nos attributs avec ceux d’une autre personne», explique ainsi l’un des chercheurs sur le site du LISER.
Comme l’explique le blog Sciences et Avenir, le but de cet algorithme reste de parvenir a mesurer une «utilite commune» d’la relation, soit «une mesure du bien-etre d’une relation et de la preference mutuelle». Mes chercheurs font donc intervenir dix facteurs tels que l’IMC, le niveau d’etude mais aussi l’etat de sante. Cette etude en sera alors au stade en recherche. Mais nombreux ont ete les scientifiques a vouloir trouver l’algorithme de l’amour.
Les mathematiques de l’amour
Hannah Fry reste une mathematicienne anglaise. Dans une passionnante conference TED de fevrier 2015, elle expose trois formules mathematiques appliquees a l’amour: De quelle fai§on avoir du succes dans un blog de rencontres, comment tomber sur Notre solide personne et De quelle fai§on ne pas divorcer.
Car, oui, tout cela a ete theorise avec des mathematiciens avant celle-ci. C’est ainsi le cas des fondateurs de OkCupid, qui apres avoir analyse les precisions des utilisateurs ont decouvert qu’il valait mieux ne pas etre trop beau pour avoir du succes concernant un site. Une autre recherche a permis de decouvrir qu’il valait mieux exclure les pretendants pendant des 37 premiers pour cent de notre vie sentimentale et prendre le premier qui se presentait juste apres.
Mais tout l’interet de ce que cette scientifique montre pourra etre ainsi resume: si ces systemes peuvent se verifier, ils ne peuvent jamais etre des lignes de conduite. Hannah Fry previent: «L’emotion humaine n’est ni ordonnee, ni rationnelle, ni previsible».
Ouf! La vie nous reserve donc des surprises, bonnes comme mauvaises, que la science ne peut prevenir.
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